14 mars: les travaux d’entretien démarrent normalement avec la mise en place de la Cochère dans la halle… mais il y a quelque chose dans l’air!

Tout s’arrête.

 

 

 

16 mai: Les travaux d’entretien reprennent en équipe réduite et au pas de charge. Outre l’habituel traitement de la coque, le carcagnou est débarrassé du vernis puis traité à l’huile. Les payots, excuses, bancs et plats-bords sont également traités à l’huile. Dans l’intervalle, Pierre-Marie en a profité pour modifier le safran. un travail qui s’avèrera très apprécié par les barreurs.

 

 

 

5 juin: Mise à l’eau, soutenue à la grue, la Cochère retrouve son élément après une longue pause. Elle l’avait quitté fin août déjà pour rejoindre la Foire du Valais… et cela nécessite quelques précautions pour cette mise à l’eau.

6 juin: Après la mise en place du gréement et quelques travaux de colmatage au suif,  elle est convoyée après quelques bords sous voiles jusqu’à son port d’attache pour le plus grand bonheur des artisans de la période d’entretien.

Photo: Jean-Pierre Butikofer

 

 

 

Les directives COVID ne permettent pas d’emmener de passagers, mais à partir du 7 juillet et jusqu’au 1er novembre, les bateliers et patrons ont l’occasion de maintenir voire renforcer leur savoir-faire. Les conditions ont souvent été très bonnes… et c’est bon pour le moral.

7 novembre: Eole offre un nouveau cadeau à l’équipage chargé du convoyage jusqu’au Bouveret: des airs favorables qui permettent une navigation intégralement à la voile.

Photo: Christian Reymond

 

D’autres photos et séquences vidéos de cette saison particulière sont également visibles sur la page Facebook de la Cochère. Pas besoin de compte pour les consulter.

https://www.facebook.com/Cochere.Aurore